Mouillage à Calla Liscia Ruia

Départ de Porto Cervo atypique : sortir du port n’est pas chose simple et une assistance est quelquefois nécessaire pour « enjamber » les mouillages de gros yachts (dans ce port, il n’y a pas de pendille, chacun utilise son ancre). Il faut bien tout caler avant d’emprunter le chenal car une grosse houle permanente est générée par les passages des gros yachts.

Nous sommes allés déjeuner à Calla Liscia Ruia. Cette grande anse décrit un cercle presque parfait et est ourlée d’une belle plage de sable fin ; un site sauvage, et sans aucune construction.

Nous avons croisé quelques petits bateaux :

 

Celui-ci détient ses jouets sur le pont supérieur : hélico, yacht à tribord et petit voilier – trois fois comme Malho ! – à babord.

Nous rejoignons ensuite Cala Volpe pour passer une nuit au mouillage, face à l’hôtel le plus cher du monde, ou presque. Mauvaise idée : les allers et venues des annexes des yacht dont le tirant d’eau ne permet pas de muiller dans la cala (2m de fond entre les deux pontons) ont générés des rêves… agités !